Chercheur français d’origine syrienne, Khaled Roumo est engagé dans le dialogue des cultures. Essayiste et conférencier, il écrit également en français et en arabe les textes poétiques que chante Naziha Meftah sur les musiques de Ghaïss Jasser dans l’ensemble Wajd.
Khaled Roumo se perd dans les méandres de l’existence jusqu’à dire : « Je suis le roi de mon néant ». Elliptique, il nous incite à l’accompagner à travers ces poèmes-récits afin d’élucider le sens de ce paradoxe insolite. Il veut nous mener probablement à un lieu poétique où l’écrin de la mémoire semble contenir
Une pelote d’instants Qu’une main invisible Love et promène en silence Dans l’immensité de l’Être.
Et même s’il se demande : « Suis-je l’ombre de mes jours ? » ou s’il souhaite se « couler dans l’oubli » si bien qu’il ne reste de lui que « Juste les cendres d’une image », il émerge pour affirmer : « Je suis qui je veux être ».
Une affirmation qui vient, peut-être, de sa disposition à accueillir les contradictions de l’existence à l’instar de cet abîme qui l’abrite et l’habite. Il émerge à nouveau pour s’interroger : Qui a enfanté l’attente ?
L’introuvable réponse le fait rêver d’un regard
Qui couve [Sa] présence Et [son] absence Que rien n’égare Ni le ciel infini Ni la terre et ses plis
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