Les espions de l'or noir

LES ESPIONS DE L’OR NOIR
De Napoléon aux révolutions arabes : la grande saga du pétrole

AUTEUR

Un essai de Gilles Munier


Journaliste indépendant, Gilles Munier est l’auteur du « Guide de l’Irak » (éditions Jean Picollec), traduit en américain, en anglais et en italien. Il a dirigé la traduction de Zabiba et le Roi , un conte prémonitoire écrit par Saddam Hussein.

FICHE TECHNIQUE

Format 145 x 220mm
288 pages
EAN : 978236762430329

Prix public : 19€
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TAGS
#pétrole, #irak, #azerbaïdjan, #syrie, #Lawrence d’arabie, #saddam Hussein, #frères nobel, #rockfeller, #moyen-orient, #gertrud bell, #louis Massignon, #sir john philby


Gilles Munier a suivi sur place le conflit qui opposa l’Irak et l’Iran, puis les deux guerres du Golfe avec leurs cortèges de victimes par centaines de milliers.
 
À partir de ce terrible constat, Gilles Munier, remontant aux premières fièvres du pétrole, nous dévoile l’étonnante saga des espions de l’or noir. Des rivalités internationales en vue de contrôler les routes des Indes à l’émergence des Etats-Unis en puissance mondiale, il brosse les portraits des espions de Napoléon et de l’Intelligence Service, du Kaiser Guillaume II et d’Adolf Hitler, du groupe Stern, de la CIA et du Mossad dont les activités ont précédé ou accompagné les grands carnages des XIXe et XXe siècles.
 
Des personnages célèbres comme Lawrence d’Arabie, Gertud Bell, Sir John Philby notamment et des figures moins connues et tout aussi inquiétantes telles que Sidney Reilly, John Eppler, composent cette galerie sulfureuse.
 
Un document de première main.

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Le pétrole (en latin petroleum, du grec petra, « roche », et du latin oleum, « huile »), dit aussi naphte dans l'antiquité, est une huile minérale d’origine naturelle 1 composée d'une multitude de composés organiques, essentiellement des hydrocarbures, piégée dans des formations géologiques particulières.

L'exploitation de cette source d'énergie fossile et d'hydrocarbures est l’un des piliers de l’économie industrielle contemporaine, car le pétrole fournit la quasi-totalité des carburants liquides — fioul, gazole, kérosène, essence, GPL — tandis que le naphta produit par le raffinage est à la base de la pétrochimie, dont sont issus un très grand nombre de matériaux usuels — plastiques, textiles synthétiques, caoutchoucs synthétiques (élastomères), détergents, adhésifs, engrais, cosmétiques, etc. — et que les fractions les plus lourdes conduisent aux bitumes, paraffines et lubrifiants. Le pétrole dans son gisement est fréquemment associé à des fractions légères qui se séparent spontanément du liquide à la pression atmosphérique, ainsi que diverses impuretés comme le dioxyde de carbone, le sulfure d'hydrogène, l'eau de formation et des traces métalliques.

Avec 31,6 % de l'énergie primaire consommée en 2018, le pétrole est la source d'énergie la plus utilisée dans le monde devant le charbon (26,9 %) et le gaz naturel (22,8 %), mais sa part a fortement reculé : elle atteignait 46,2 % en 1973.
En 2019, selon BP, les réserves mondiales prouvées de pétrole atteignaient 244,6 Gt (milliards de tonnes), en progression de 13,2 % par rapport à 2009 et de 35,8 % par rapport à 1999. Elles représentaient 49,9 années de production au rythme de 2019, soit 4,48 Gt, dont 37,5 % produits par les pays membres de l'OPEP ; les trois principaux producteurs totalisaient 42,4 % de la production mondiale : États-Unis 17,9 %, Russie 12,1 % et Arabie saoudite 12,4 %. Les principaux importateurs de pétrole sont l'Europe, la Chine, les États-Unis, l'Inde et le Japon ; les principaux exportateurs sont l'Arabie saoudite, la Russie, l'Irak, le Canada, les Émirats arabes unis et le Koweït.

L'Agence internationale de l'énergie évalue les émissions mondiales de CO2 dues au pétrole à 11 377 Mt (millions de tonnes) en 2017, en progression de 33,8 % depuis 1990 ; ces émissions représentent 34,1 % des émissions dues à l'énergie en 2018, contre 44,0 % pour le charbon et 21,2 % pour le gaz naturel.
(source : https://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%A9trole)

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