Jean-Claude Sacerdot, un anticonformiste viscéral ! Cet homme modeste parle de sa vie comme celle d’un bouchon de champagne : « C’est petit et fragile d’apparence. Ça essuie des tempêtes de furie, ça passe sans sourciller les quarantièmes rugissants et cinquantièmes hurlants sans pour autant jamais couler ! » Ce baroudeur a été parachutiste, pilote de parapente, rugbyman mais aussi officier de police, secrétaire particulier d’un prince du sang et enfin journaliste au Luxembourg. Le cinéma s’empare de son oeuvre avec son premier roman :Requiem pour un poulet. Les deux suivantsLucky Lux1 et 2, aux éditions Erick Bonnier, sont en cours d’adaptation pour le grand écran.
TAGS #révolution française, #enquête policière, #chouan, #comédie française
1793 … L’an 1 de la République, commencé un 12 Nivôse. Jean-Eudes de Kermorgan va retrouver son uniforme de Commandant du 13èmeHussard d’Esterhazy.
Républicain convaincu, disciple de Maître Reujard dont Voltaire se disait l’ami, le jeune comte se destinait à exercer le métier de chat-fourré. La vue du peuple avide et gorgé du sang d’innocents, les massacres abominables de septembre, l’ont convaincu de renoncer à si noble projet. Les maîtres à danser ont détourné l’esprit des Lumières pour plonger la nation dans les ténèbres, voilà la Révolution !
La Terreur ne se fera pas attendre. Les ennemis se pressant aux frontières, Jean-Eudes de Kermorgan reprend du service, en héros de Valmy et de Jemmapes, nommé au feu, des mains de Dumouriez. Accusé à tort de l’effroyable assassinat de la plus jolie femme de Paris, Bertille Valentin, ingénue à la Comédie française, il trouvera un temps refuge chez son père, en leur fief de Normandie. On le recherche ! La police criminelle d’abord, avec l’étonnant commissaire Conan Percebois, mais aussi et surtout, la mystérieuse et cruelle Rose Noire – elle et ses fils, sont sans pitié.
La guillotine l’attend ! Quel sera le sort du jeune comte Jean-Eudes du Plessis de Kermorgan, trente-troisième du nom, dit Coeur de fer ? Il doit retrouver Bertille « sa victime » toujours vivante, la seule à pouvoir l’innocenter… Qu’on ne s’y méprenne point, Coeur de fer n’est pas homme à se laisser faire !
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