Saïd Ghazal est un libano-canadien francophone. Il fuit la guerre du Liban en 1975 sous la pression de ses parents. Il poursuit ses études à Montréal.La langue oubliée de Dieuest son premier roman.
Hanté par une histoire accablante que lui ont transmise ses grands-parents, rescapés du pogrom des chrétiens en Turquie au début du XXe siècle, Aram s’efforce de traduire leur mémoire rédigée par Sowo, le grand-père, en araméen, la langue des syriaques d’Orient…
Deux univers parallèles se télescopent, l’un au présent et l’autre au passé. C’est ce passé pesant dans lequel le héros est plongé à son corps défendant qui rendra son présent écrasant. L’histoire se dévoile à travers une lente évolution de sentiments dualistes comme un clair-obscur.
Dans cette oeuvre exutoire, à mi-chemin entre les mémoires et l’autofiction, l’auteur règle ses comptes avec ses origines, son passé, son éducation et son exil forcé.
La presse en parle
Restez au courant des dernières nouvelles avec notre newsletter !